Définition : GAFA est un acronyme qui désigne les quatre plus grandes entreprises américaines du domaine des technologies :
- Google (dont la maison mère est Alphabet) : 109,65 milliards de dollars de chiffre d’affaires (CA) en 2017.
- Amazon : 178 milliards de CA en 2017.
- Facebook : 40,6 milliards de CA en 2017.
- Apple : 88,3 milliards de CA en 2017.
En comparaison, le PIB du Danemark, pays riche, comptant de près de 6 millions d’habitants, était d’environ 300 milliards de dollars en 2016. On ajoute à cette acronyme, rarement toutefois, la lettre « M » pour Microsoft. Si la firme de Seattle reste puissante, son étoile a pâli. Elle ne semble plus être à la pointe de l’innovation aux yeux de l’opinion. Cela dit beaucoup de la nature médiatique de l’acronyme GAFA.
GAFA : un acronyme incomplet ?
En effet, cet acronyme, qui semble être d’origine française, est souvent utilisé dans une dimension critique. Les GAFA, par leur toute puissance, empêcherait l’éclosion de la concurrence. Ces entreprises ont des moyens financiers tels qu’elles peuvent acheter n’importe quelle concurrente pour être présentes dans tous les domaines. En outre, les GAFA sont régulièrement accusées, en Europe par exemple, d’essayer par tous les moyens de soustraire à leurs obligations fiscales et de ne pas protéger les données de leurs utilisateurs. Facebook est notamment plongée dans le scandale Cambridge Analytica : Facebook aurait laissé cette entreprise de communication puiser dans les données de millions d’utilisateurs de son réseau social pendant la campagne de Donald Trump aux États-Unis.
Pourtant, cet acronyme médiatique a le défaut de ne mettre la lumière que sur un nombre limitées d’entreprises, alors que bien d’autres, condamnées ou non, mériteraient de susciter au moins surveillance permanente : les célèbres Intel, Cisco, IBM aux États-Unis, la moins célèbre SAP en Europe, les géants chinois Baidu, Alibaba, Tencent, Huawei et Xiaomi en Chine, Samsung en Corée, etc.
Un nouvel acronyme a parfois été employé : NATU ou TUNA. Il reprend les initiales de quatre entreprises technologiques dont le succès a été fulgurant ces dernières années : Netflix (contenu télévisé sur internet), Airbnb (location de logement chez les particuliers), Tesla (batteries et voitures électriques) et Uber (VTC). Mais il n’a pas eu le même succès que GAFA.
En conclusion, l’acronyme GAFA a le mérite de désigner un phénomène : l’émergence de nouveaux trusts. Mais il a le défaut de limiter ce phénomène, large et international, a quatre entreprises seulement.
« En comparaison, le PIB du Danemark, pays riche, comptant de près de 6 millions d’habitants, était d’environ 300 milliards de dollars en 2016. » dites-vous . Mais pour moi un pays c’est une entreprise multifonction, les éléments qui produisent sont humains sous forme biologique. Théoriquement l’existence de l’univers peuplé d’humains biologique est nécessaire pour que puisse exister indépendamment l’univers numérique , mais certains parlent d’une intelligence artificielle et osent croire qu’une telle humanité pourrait cohabiter avec celle qui est à l’origine ou même la remplacer. Si l’entreprise Danemark rend ses producteurs mécontents certains vont quitter et partir alors le Pib va diminuer. Les éléments qui produisent chez Google sont aussi humains mais sous forme numérique et très nombreux, on ne peut donc pas comparer les ratios facilement. S’ils deviennent mécontents de leur territoire numérique ils vont quitter et partir(on dit » se désinscrire et probablement chercher un autre univers numérique ») le chiffre d’affaire va diminuer et le Pib aussi passant par exemple de 109milliards d’€ à 104 milliards d’euros en 2021provisoirement ou pas!? Les humains biologiques ou numériques aiment la liberté de choix et la transparence !. S’is en sont privés ils souhaitent fortement quitter le pays ou quitter l’univers numérique. S’ils sont frustrés ils peuvent devenir moins compétents, voir perturbés, inadaptés, présenter des pathologies psychosomatiques qui peuvent nuire à l’entreprise numérique ou au pays de façon insidieuse et subversive parfois jusqu’à la disparition , mais un autre univers structuré pourra apparaître et les humains profiter d’un nouveau cycle (On l’appelle civilisation) En bio comme en numérique les humains souhaitent fortement une vie privée; dans les deux cas ils sont + ou – surveillés mais pas de la même façon .(à développer) Sous forme biologique ,s’ils souhaitent quitter leur pays, ils doivent répondre à des contraintes et réglementations, être autorisés ou empêchés provisoirement ou définitivement (à développer). Sous forme numérique l’humain trouve plus facilement un autre univers où il peut participer à nouveau à la production, avec ses congénères, ce qui le rendra heureux. La notion de bonheur échappe encore à une définition analytique rationnelle : je pense en effet que cela est dû à l’une de ses dimensions qui est métaphysique .
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est infinie et à decouvrir sans cesse.
Nul, pas assez d’information
Qu’est-ce qu’il te manque ?
Vous êtes durs je trouve…
Pour moi ce site a parfaitement répondu à ma question !
Merci au créateur ! 😊
on pourrait ajouter à la liste, les grandes fédérations sportives(foot par exemple), et les soumettre à la fiscalisation au même titre qu’un citoyen cela contribuera tres certainement, à participer à sauver la planète et ses habitants, à tous les niveaux prendre le relai de la société civile, fatiguée, séchée, dénicher les paradis fiscaux, c’est le seul moyen de rétablir toute justice fiscale et sociale, en France comme ailleurs
merci
Le foot, mais aussi la F!, et que dire des JO, supers états qui échappent aux états.